
« Aujourd’hui, le PSG, c’est comme Monaco : no limit. Pas l’OM, dont la raison première est économique et prend le pas sur le reste » dit-il à propos de l’OM dont il a suivi les deux derniers matches face à Paris.
« Je les ai suivis attentivement. L’OM a fait preuve de beaucoup de solidarité et de combativité et a eu une possession importante face à Paris, qui n’a pas montré grand chose en terme de jeu. L’OM s’est fait piéger par une possession excessive, Paris étant redoutable en contre. Contre le PSG, en étant plus modeste, on avait eu le ballon 60 % du temps et on en avait pris quatre à cause de trois conneries » a-t-il ajouté.


