Dans un entretien accordé au quotidien régional, Le Progrès, il reconnaît que succéder à Claude Puel n’est pas chose facile : « Le plus difficile est de succéder à quelqu’un avec qui l’on a travaillé, de près au début, d’un peu plus loin sur la fin. C’est une situation que l’on n’aime pas trop. Le plus facile ? Je ne sais pas. L’apaisement du climat peut faire gagner des matches, y contribuer au moins, mais ce n’est que passager » a déclaré Rémi Garde.
Il évoque aussi la façon de fonctionner avec ses patrons : « La relation a évolué avec Jean-Michel Aulas. C’est une relation président – entraîneur, qui s’est intensifiée à un bon rythme, mais il n’y a aucun problème. Je communique beaucoup avec Bernard Lacombe, cela facilite pas mal de choses, car il est un élément essentiel du trio » a-t-il ajouté.
