Guy Roux, l’un des trois historiques mis en cause par Pierre Ménès dimanche soir lors de l’émission le Canal Football club, a répondu au sniper de la chaine cryptée.
« Ménès, on le connaît. Je ne l’ai pas entendu parce que j’animais mon émission sur Europe 1 en même temps. Lui, il va prendre à l’antenne ce soir (dans Les Spécialistes, ce lundi à 19h40, ndlr). Depuis plusieurs semaines, la presse publie des papiers anti-AJA. J’ai lu que le club avait perdu son triple A. Je précise que l’AJA est l’un des rares clubs français avec le PSG a mériter ce triple A. C’est une entreprise qui possède en banque toutes les échéances jusqu’à la fin de l’exercice en cours. En plus, l’AJA a en ce moment en construction un centre de formation de dix millions d’euros entièrement financé. Allez interroger les entrepreneurs. Une fois par semaine, ils ont réunion de chantier, ils présentent leurs factures et ils ont leurs chèques. Enfin, je précise que l’AJA a dans son patrimoine quinze hectares bâtis avec sept terrains. Le club est endetté de zéro franc (sic) ! Et on devance de plusieurs milliards les Manchester United, Real Madrid… » a-t-il expliqué au site internet de France-Football.
Guy Roux assure n’avoir plus aucun rôle décisionnaire au sein de l’AJA : « Je suis la 65e roue du carrosse de l’AJA. Depuis juin 2005, il y a ici une règle absolue éditée par M. Hamel et M. Bourgoin, »TSGR » : Tout sauf Guy Roux ! Les trois entraîneurs qui m’ont succédé, j’ai appris leur nom dans le journal, comme tout le monde ! Lorsqu’il y a eu la reprise du pouvoir cet été, on m’a proposé de faire partie du conseil d’administration de l’association et de me confier un rôle, celui de superviser l’école de football, d’animer le centre de formation et de le rendre plus rentable. C’est tout et ça me plaît beaucoup » a-t-il ajouté.
