Mardi en conférence de presse, Philippe Mexès est pourtant apparu détendu : « Je n’ai pas la corde au cou pour autant. Je ne ressens pas de pression. Je ne pense pas que Raymond Domenech soit le responsable de ce qu’il m’est arrivé. Mais on a pas vu le Philippe Mexès d’Auxerre ou des grands moments à Rome. C’est simplement une affaire de circonstances » a-t-il déclaré.
Et celle qui se présente ce mercredi pour le match amical, première pour le nouveau sélectionneur Laurent Blanc, est l’une de celles qui ne faudra peut-être pas ratée cette fois-ci.