Le technicien bosnien espère bien un jour pouvoir revenir travailler en France : « Quand j’ai dû quitter le PSG en 2005, j’étais dégoûté par l’image de tyran sans coeur que donnait de mois certains journalistes et dirigeants. C’était fait pour me détruire » explique-t-il dans les colonnes de l’Equipe Mag.
« Depuis, j’ai reçu des dizaines de propositions, mais je ne veux pas reprendre en bas de l’échelle ou dans des lieux bizarres. Surtout, je ne peux pas conclure ma carrière sans revenir un jour en France pour effacer le souvenir apocalyptique de mon départ du PSG » a-t-il ajouté.
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